Reconnaître un bon vin n’est pas très commun chez les personnes qui en consomment. La plupart des gens se contentent de voir tout ce qui est sur la table. Pour devenir un connaisseur en matière de vin, suivre un cours d’oenologie pour savoir distinguer le bon du mauvais vin. Pour être un bon dégusteur de vin, il faut activer ses sens.
Éveiller ses sens pour une bonne dégustation
Pour reconnaître un bon ou un mauvais vin, il’faut être attentif à la moindre sensation que vous ressentez. La vue, l’odorat et le goût sont à mobiliser pour déguster le vin.
Premièrement, la vue : les yeux sont important dans la dégustation du vin. Une fois le vin dans le verre, celui-ci doit être vêtir d’une robe brillante. Qu’il s’agit du vin blanc ou rouge, l’intensité de la couleur détermine quelque fois la qualité du vin, mais bien plus l’âge. Si on s’entient à la couleur, il faut savoir que plus la couleur du vin tend vers l’orange plus il est vieux. Lorsqu’il tire vers le violet alors le vin est encore neuf ou jeune. Cependant faut pas oublier que la couleur du cépage impacté sur la teinte du vin.
Deuxiement, l’odorat : après la vue, le nez est l’organe qui permet de déterminer si un vin est bon ou non. Il s’agit ici de détecter les différentes fragrances que dégagent le vin. Pour cela, il faut remuer son verre pour laisser échapper les différentes arômes que contiennent le vin. Après un ou deux tours de nez, il est plus aisé de dégage toutes les senteurs (florales, fruitées ou épicées).
Troisièmement, le goût : c’est le moment où on met le vin à la bouche et où on ressent tous les arômes du vin, c’est de cette manière qu’on pourra découvrir s’il s’agit d’un vin sec, un moelleux, doux, etc.